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De l'Europe, de la crise grecque et des spéculateurs

"La réponse est simple : en économie libérale, ce sont les marchés qui ont toujours raison." " On s’intéressera toutefois à la lecture des prévisions de l’OCDE, pour laquelle la situation grecque n’est pas la pire envisageable pour l’avenir. En effet, si rien n’est fait sur le plan des dépenses et des recettes comme sur les retraites, les dettes atteindront des sommets himalayens d’ici à 2020. 300 % du PIB au Japon, 200 % en Grande-Bretagne et « seulement 150 % pour la Belgique, la Grèce, la France, l’Italie et les États-Unis »." // note: marches? qui les controle, selon quel dynamiques, suivant quels interets?

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TRANSITIONS: Le blog de Christian Arnsperger

Le capitalisme, donc, est une logique de planification non démocratique. Inadmissible!, diront les néolibéraux qui se sont accaparés le mot "libéralisme" comme s'ils pouvaient en faire leur marque de fabrique... Inadmissible, car le capitalisme c'est l'économie de marché, et l'économie de marché c'est un élément central de la démocratie! Voilà bien deux mensonges auxquels il faut tordre le cou.

Tout d'abord, il existe des économies de marché non capitalistes, qu'on peut aussi appeler "économies avec marchés" ...

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