J'ai pas assez de mots pour dire ce que j'ai à direPis on dirait que ça vaut pas la peine d'essayerC'est comme des mille et des milles de monde qui auraient essayé avant moi sans succèsSans s'estomperSous les soucis de l'attente, j'espère, je t'espère pis j'te trouve pasT'es à l'autre bout d'une grosse flaque et moi je m'égoutteJe cours partout et je m'essouffle, je fatigue,J'ai besoin de m'arrêterMe recharger dans tes bras, des braises ardentes et de la vapeur et la pression qui monte...Et puis les flamèches qui t'auréolent le visage et qui me donnent le goût de te mordiller le couBon tu vois, rien que d'y penser, je boutsTu m'manques, tu m'manques, tu m'manquesT'es mon précieux, mon seigneur, mon cadeau, mon labeur, ma tendresse, source de sagesseTes mains, tes yeuxTes fesses...Tu vois c'est reparti pour un poème quétaine de vieille fille amoureuseCa a meme pas le cran de dire... je t' ....Ca dit juste que j'ai assez fait chier de monde que j'aimais pas assez ou tropou surtout malJ'aimerais te dire... mais non je dirai rien...Je suis paumée, dans toutes les directions, mais surtout par en haut, par en avant, par où ça tire... Par où on progresse par où s'élanceTu m'manques, tu m'manques, tu m'manquesJ'voudrais pas t'dire que c'est spécial pis me rendre compte que ça ne l'est pasJ'ai tellement eu de fausses alertes sur le coeur.Astheure j'ai une prescription: juste du bonheur...Des coups durs.. okay, j'suis capable d'en prendre..Pis tu sais, je sais nager, j'ai pas peur des vagues...Mais cette fois-ci,J'm'attache au mât.