estime que Panfilo est un "prisonnier de conscience", condamné pour étouffer les expressions de mécontentement des Cubains.
La blogueuse cubaine Yoani Sanchez a pris la défense de cet "antihéros" : "Dans une société marquée par la criminalisation des opinions, même les fous et les enfants ne disent plus ce qu'ils pensent, juste les ivrognes."