il remarqua que la somme des coûts dépassait la somme des salaires et des dividendes payés. Cela lui semblait contredire les principes de l'économie ricardienne, qui énonçait le contraire.
Douglas rassembla des données pour plus de cent entreprises britanniques et il découvrit que dans les entreprises allant vers la faillite, la somme des salaires et des dividendes était toujours plus faible que la somme des coûts hebdomadaires.
Douglas publia ses résultats dans l'English Review, où il suggéra que le système des intérêts devait être corrigé pour assurer la justice sociale. Son mouvement prit de l'ampleur au Canada et en Nouvelle-Zélande, où plusieurs ligues furent fondées pour propager cette doctrine.
Son idée de Crédit Social autrement appelée Dividende Social, Dividende Monétaire, ou Dividende Universel, consiste à mesurer la croissance de l'économie et de créer la monnaie en proportion de cette croissance et à la distribuer à tous les citoyens de la zone monétaire concernée.