M. Obama a donc préféré revenir à sa position initiale, celle qu'il avait annoncée dans un communiqué en autorisant, le 16 avril, la divulgation de quatre mémorandums du ministère de la justice. "Le moment est à la réflexion pas aux représailles". M. Obama préfère la conclusion de l'enquête à huis clos que mène la commission sénatoriale du renseignement.